Au Maroc, Delacroix est parti peindre et dessiner "d’après nature", faire l’expérience de lumières, de couleurs, de formes, de chevaux et de cavaliers, de visages et de corps. Du Maroc, Gérard Rondeau rapporte des images impressionnistes, des visions de nuit, des passants devenus formes ou sculptures qu’il croise dans la rues. Ce qu’ont en commun ces deux pratiques reste intimement lié à la nature même de leur voyage, à leur façon de ne pas voyager pour simplement visiter, mais pour voir.